Une molécule, composée d'un atome d'oxygène et de deux atomes d'hydrogène, est gelée à 0 °C et en vapeur à 100 °C. Elle représente 70% de la terre. À travers les océans, mers, rivières, fleuves, lacs et même flaques d’eau ! C’est une ressource qui est tellement commune que l’on ne parle jamais dans les livres de LA goutte d’eau ! Alors aujourd’hui, je vais vous raconter l’histoire de la goutte d’eau qui va faire déborder le vase ! J’ai fait mes recherches et en scénarisant tout cela, voilà ce qui est arrivé à une molécule d’eau :

 

En 1823 une famille se disputait dans son jardin. C'était le jour de la fête des mères et son fils aîné lui avait acheté des lys, mais sa maman n’en voulait pas ! Elle voulait des roses, elle, alors son petit frère lui ramena des roses, mais ça n'allait pas ! Le vase ne comprenait pas assez d’eau. Alors, elle en a rajouté tout en faisant bouillonner sa colère déjà bien présente. Et là parfait ! L’eau était parfaitement au ras du pot. Mais soudain, une goutte d’eau tomba d’un nuage. Une seule qui en tombant dans le vase qui était au ras se mit à déborder et créa de petites vagues. Ces vagues firent tomber de l’eau sur la nappe, cela mouilla la nappe et la maman de ces deux pauvres enfants effrayés explosa de colère et cria de toutes ces forces :

-C'est cette goutte d’eau qui a fait déborder mon vase, je n’en peux plus de toute cette eau, je veux, je, je, je BRÛLE DE COLÈRE !! Contre cette molécule composée d'oxygène et d'hydrogène ! Je ne veux plus revoir cette planète bleue, et je n'écouterai plus ce poème de la plume numérique qui dit du bien de l’eau !

 

Et voilà comment une goutte d’eau a fait déborder le vase ! Non, en vrai voilà la réelle définition :

“Expression française apparue au XIXe siècle. Il s'agit d'une métaphore où le contenu d'un réservoir presque plein déborde à cause d'une goutte d'eau de trop. On comprend l'allusion faite à la parole de trop qui pourrait engendrer une explosion de colère.”